

Badge de conducteur au front, Kraftfahrbewährungsabzeichen, d'origine Deuxième Guerre, de couleur bronze.
Une agrafe est cassée.
Elle fut créée le 23 octobre 1942 pour récompenser les chauffeurs ayant conduit, bien entretenu et pris soin de leurs véhicules (motos, camions, voiture) en situation de combat.
En très bon état.
Il existait trois classes pour cet insigne était délivré en fonction des situations rencontrés par les chauffeurs et de leurs emplois :
-Bronze : décerné au chauffeur de motocyclette (90 jours au front) et de véhicules de ravitaillement (175 jours).
-Argent : attribué au chauffeur de motocyclette (180 jours au front) et de véhicules de ravitaillement (330 jours).
-Or : remis au chauffeur de motocyclette (270 jours au front) et de véhicules de ravitaillement (495 jours).
On constate que le nombre de jours nécessaire aux motards est moins élevé que ceux des véhicules lourds tels les camions. Cela vient du fait que les premiers sont plus exposés au danger que les seconds.
Les jours de présence au front (ou les jours de combat) sont définis par le fait que le véhicule a été sous le feu ennemi, a pris part à de longues missions, sur des routes dangereuses ou par des conditions climatiques difficiles.
L'insigne pouvait être retiré à son récipiendaire en cas de faute (accident, négligence dans l'entretien du véhicule), il a cessé d'être accordé à la fin du régime nazi en Allemagne en 1945.
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Badge de conducteur au front, Kraftfahrbewährungsabzeichen, d'origine Deuxième Guerre, de couleur bronze.
Une agrafe est cassée.
Elle fut créée le 23 octobre 1942 pour récompenser les chauffeurs ayant conduit, bien entretenu et pris soin de leurs véhicules (motos, camions, voiture) en situation de combat.
En très bon état.
Il existait trois classes pour cet insigne était délivré en fonction des situations rencontrés par les chauffeurs et de leurs emplois :
-Bronze : décerné au chauffeur de motocyclette (90 jours au front) et de véhicules de ravitaillement (175 jours).
-Argent : attribué au chauffeur de motocyclette (180 jours au front) et de véhicules de ravitaillement (330 jours).
-Or : remis au chauffeur de motocyclette (270 jours au front) et de véhicules de ravitaillement (495 jours).
On constate que le nombre de jours nécessaire aux motards est moins élevé que ceux des véhicules lourds tels les camions. Cela vient du fait que les premiers sont plus exposés au danger que les seconds.
Les jours de présence au front (ou les jours de combat) sont définis par le fait que le véhicule a été sous le feu ennemi, a pris part à de longues missions, sur des routes dangereuses ou par des conditions climatiques difficiles.
L'insigne pouvait être retiré à son récipiendaire en cas de faute (accident, négligence dans l'entretien du véhicule), il a cessé d'être accordé à la fin du régime nazi en Allemagne en 1945.
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée.
Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.