Casque M34, Feuerschutzpolizei, prise de guerre, 101st Airborne Division
750,00 €
TTC
Casque M34 allemand, d'origine Seconde Guerre mondiale, destiné à la Feuerschutzpolizei.
Créée en 1938, la Feuerschutzpolizei, littéralement "Police de protection contre les incendies", bénéficie du transfert de compétences des brigades de pompiers municipales à l'Ordnungspolizei. À partir de 1941, elle se verra confier la responsabilité de la protection incendie et de la défense civile dans les territoires occupés.En tant que force de police, elle est placée sous l'autorité du Reichsführer-ᛋᛋ Heinrich Himmler.
Exemplaire en bon état général, ayant conservé sa coiffe et une partie de la jugulaire.
L'écu du NSDAP et celui de la police, respectivement appliqués sur le côté droit et le côté gauche de la coque, sont particulièrement bien conservés.
La surface externe a fait l'objet d'une personnalisation à la peinture suggérant qu'un parachutiste américain a pu rapporter ce casque comme souvenir de sa campagne en Europe.
Ainsi, le sommet de la bombe arbore la bannière à 48 étoiles, tandis qu'un brevet de parachutiste surmonté de la mention We gave'em HELL! orne la partie avant, et l'insigne de la 101st Airborne Division la partie arrière.
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.