

Rare récepteur radio britannique MCR-1, d’origine Deuxième Guerre, Miniature Communications Receiver. Développé en 1943 par le Captain John Brown, ce récepteur modulaire clandestin sera produit par Philco. Initialement destiné aux agents du Special Operations Executive et autres unités spéciales, ce modèle sera ensuite adopté par l'armée britannique. Officiellement dénommé Type 36/1, on le désigne généralement sous l’appellation Midget Communications Receiver MCR-1.
Il est composé d’un récepteur rectangulaire, de quatre convecteurs (quartz), d’une batterie séparée de mêmes dimensions que le récepteur proprement dit et de divers accessoires. Largement distribué en Europe occupée pour transmettre les messages codés, il deviendra très populaire auprès de nombreuses organisations de Résistance. Son conditionnement en boîte à biscuits étanche (non fournie ici) lui vaudra le surnom de radio "biscuit".
Utilisable seul, il peut également être intégré à un ensemble complet comme le Type 46/1 (Jedburgh Set) ou le Type 48/1 (Nicholls Set). Initiée à la fin de l’année 1943, sa production dépassera les 30 000 unités à la fin de la guerre. Par la suite, il deviendra un objet de collection très convoité compte tenu du nombre limité d’exemplaires préservés.
Rarissime exemplaire précoce daté de janvier 1944, destiné à une utilisation sur le terrain par la Résistance, le SOE, les SAS ou les équipes Jedburgh (cf. présence d'une batterie supplémentaire). Presque complet (prise de terre et écouteurs inclus mais antenne manquante). Un rapporteur et une fiche d'utilisation (copie) complètent cet ensemble homogène.
Exemplaire en excellent état général, retrouvé il y a quelques années dans un grenier d'Oullins, dans la banlieue de Lyon (Rhône).
Rare récepteur radio britannique MCR-1, d’origine Deuxième Guerre, Miniature Communications Receiver. Développé en 1943 par le Captain John Brown, ce récepteur modulaire clandestin sera produit par Philco. Initialement destiné aux agents du Special Operations Executive et autres unités spéciales, ce modèle sera ensuite adopté par l'armée britannique. Officiellement dénommé Type 36/1, on le désigne généralement sous l’appellation Midget Communications Receiver MCR-1.
Il est composé d’un récepteur rectangulaire, de quatre convecteurs (quartz), d’une batterie séparée de mêmes dimensions que le récepteur proprement dit et de divers accessoires. Largement distribué en Europe occupée pour transmettre les messages codés, il deviendra très populaire auprès de nombreuses organisations de Résistance. Son conditionnement en boîte à biscuits étanche (non fournie ici) lui vaudra le surnom de radio "biscuit".
Utilisable seul, il peut également être intégré à un ensemble complet comme le Type 46/1 (Jedburgh Set) ou le Type 48/1 (Nicholls Set). Initiée à la fin de l’année 1943, sa production dépassera les 30 000 unités à la fin de la guerre. Par la suite, il deviendra un objet de collection très convoité compte tenu du nombre limité d’exemplaires préservés.
Rarissime exemplaire précoce daté de janvier 1944, destiné à une utilisation sur le terrain par la Résistance, le SOE, les SAS ou les équipes Jedburgh (cf. présence d'une batterie supplémentaire). Presque complet (prise de terre et écouteurs inclus mais antenne manquante). Un rapporteur et une fiche d'utilisation (copie) complètent cet ensemble homogène.
Exemplaire en excellent état général, retrouvé il y a quelques années dans un grenier d'Oullins, dans la banlieue de Lyon (Rhône).
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée.
Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.