Émetteur-récepteur britannique, Wireless Set No. 38, Mk 2
1 250,00 €
TTC
Émetteur-récepteur portatif britannique Wireless Set No. 38 Mk 2, d'origine Deuxième Guerre, développé en 1941-1942 et destiné aux communications à courte distance (1 km).
Modèle standard permettant notamment la liaison entre le peloton et la compagnie.
Exemplaire en bon état général, livré avec écouteurs montés sur arceau, laryngophone, boîtier de raccordement et antenne.
Émetteur-récepteur portatif britannique Wireless Set No. 38 Mk 2, d'origine Deuxième Guerre, développé en 1941-1942 et destiné aux communications à courte distance (1 km).
Modèle standard permettant notamment la liaison entre le peloton et la compagnie.
Exemplaire en bon état général, livré avec écouteurs montés sur arceau, laryngophone, boîtier de raccordement et antenne.
Batterie non fournie.
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Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.