Carte postale française, libération de Montbéliard
45,00 €
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Carte postale française, d'origine, commémorant la libération de Montbéliard (Doubs) le 17 novembre 1944.
Imprimée à Montbéliard dans les années 1950.
La caricature, réalisée par le peintre local Henri Sauldubois, représente une vieille femme en sabots, arborant un brassard FFI, bottant les fesses d'un officier allemand ; cette illustration célèbre est généralement connue sous le titre : Le coup de pied à tchu.
Selon certaines sources, l'homme est représenté sous les traits d'un certain Karl Dietz, dit "le Balafré", cadre de la Gestapo localehonni des habitants de la région, qui trouvera la mort suite à l'attaque du maquis de Lomont en août 1944.
Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée. Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.