






Ceinture porte-bonheur japonaise, Senninbari haramaki
Rare ceinture porte-bonheur japonaise, d'origine Deuxième Guerre, dite Senninbari haramaki.
À l'image du drapeau confié par la famille et les amis (Hinomaru yosegaki) ou de la bannière de guerre offerte par telle ou telle organisation patriotique (Shussei nobori), la "ceinture à mille points" est l'un des principaux effets de protection spirituelle que le guerrier nippon emporte au combat. Son origine remonterait au conflit sino-japonais de 1894-1895.
Réalisé à l'initiative de la mère, la sœur ou l'épouse du combattant, c'est un ouvrage participatif, constitué d'une simple bande de tissu destinée à être nouée autour de la taille et sur laquelle figurent différents motifs ou messages d'encouragement : selon la tradition, ces inscriptions doivent être composées d'un total de mille points de broderie, chaque point étant théoriquement brodé par une femme différente à la requête de l'initiatrice.
Cette ceinture ne présente pas de motifs brodés : en revanche, elle arbore différents idéogrammes peints ainsi qu'une pièce de monnaie cousue en guise d'amulette.
Exemplaire porté, dans son jus.
Détails du produit
Vous allez aussi aimer

Grenade céramique, Type 4, blanche, japonaise
Grenade en céramique japonaise de type 4, d'origine Deuxième Guerre. Suite à une pénurie de métaux, les grenades en céramique sont apparues fin 1944, début 1945 comme arme de "dernier recours". Distribuée en masse aux troupes japonaises lors des batailles d'Iwo Jima et Okinawa. Le corps de la grenade est vide et ne présente aucun danger.

Drapeau japonais, Kyokujitsuki
Rare drapeau japonais, d'origine Deuxième Guerre, de type Kyokujitsuki . Inspiré du Soleil levant, symbole traditionnel japonais depuis le Moyen Age, ce modèle adopté à la fin du XIXe siècle restera le principal drapeau des forces armées nippones jusqu'en 1945. Cette version représente un soleil centré, généralement associé à l'Armée impériale japonaise, tandis que la version à soleil décentré semble avoir été l'apanage de la Marine impériale. Dimensions : 29 x 35 cm. Exemplaire en bon état général.

Casquette de campagne, Armée impériale japonaise, Ryakubo, taille 57
Rare casquette de campagne de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, du modèle règlementaire destiné à la troupe. Coiffe en laine kaki présentant deux œillets d'aération de chaque côté, visière souple, bande de sudation en cuir fauve. Taille 7 (57). Exemplaire porté, en assez bon état général, ayant conservé son insigne de coiffe et son cordonnet de serrage ; seule la jugulaire est manquante.

Bandes molletières, Armée impériale japonaise, Makikyaham
Paire de bandes molletières de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, en drap de laine kaki. Ensemble homogène, en excellent état général.

Casque léger, Armée impériale japonaise
Rare casque léger en fibre de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, reprenant la forme du casque lourd Modèle 32. Exemplaire porté, dans son jus, ayant conservé son insigne de coiffe en métal, ses rivets et une partie de l'intérieur en toile de jute.

Sac à effet personnels, Marine impériale japonaise, Hoko-bukuro
Magnifique sac japonais de type Hoko-bukuro , d'origine Deuxième Guerre, destiné au transport des effets personnels. Confectionné en toile de coton verte, il est muni d'un cordon de serrage. Exemplaire en excellent état général, arborant l'emblème de la Marine impériale japonaise. Dimensions : 21 x 28 cm.

Ceinturon en cuir, officier marinier, Marine impériale japonaise
Rare ceinturon en cuir brun de la Marine impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, pourvu d'une boucle en laiton et vraisemblablement destiné aux officiers mariniers. Exemplaire porté, en assez bon état général.

Drapeau japonais, manche télescopique, Hinomaru
Petit drapeau national japonais Hinomaru en rayonne, d'origine Deuxième Guerre, monté sur un manche télescopique (fonctionnel) pouvant être glissé dans le canon du fusil à l'occasion d'une parade, d'un défilé ou de tout autre type de manifestation patriotique. Exemplaire en parfait état, livré dans sa housse en rayonne assortie. Dimensions du drapeau : 22 x 30 cm. Longueur du manche déployé : 33 cm.

Ceinture de maintien, Armée impériale japonaise, Obigawa
Ceinture de maintien japonaise, d'origine Deuxième Guerre, confectionnée en toile épaisse et munie de deux sangles en cuir avec boucles à ardillon (fonctionnelles). Exemplaire porté, en assez bon état général. Dimensions de la bande de toile : 75 x 7,5 cm.

Pantalon Type 98, uniforme d'hiver, Armée impériale japonaise, Gunko
Rare pantalon Type 98 de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, en laine kaki doublée de toile de coton blanche, destiné à la tenue de campagne hivernale. Modèle introduit en 1938 et conçu pour être porté avec la veste assortie. Exemplaire en excellent général, ayant conservé la totalité de ses boutons et ses cordons de serrage à la taille et aux chevilles. Les marquages de production sont clairement visibles à l'intérieur. Taille 40.

Bandes molletières, Armée impériale japonaise, Makikyaham
Paire de bandes molletières de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, en drap de laine kaki. Ensemble homogène, en excellent état général.

Gourde pour officier, Armée impériale japonaise, Suito
Rare gourde réglementaire de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, du modèle spécifique aux officiers. Bidon en aluminium muni d'un bouchon en liège. Un gobelet en aluminium, solidarisé par une chaînette à la sangle en toile du porte-bidon, vient se visser sur le goulot. Contenance : 1,2 l. Exemplaire complet, en assez bon état général.

Brodequins, M-16, Armée impériale japonaise, Henjoka
Rare paire de brodequins de combat M-16 de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, introduits en février 1941 et destinés à être portés avec les bandes molletières. Chaussure montante en cuir fauve à bout rapporté, munie de trois paires d'œillets et d'une semelle en caoutchouc naturel. Pointure 11.7 (44). Ensemble homogène, état porté ; les lacets en coton kaki clair sont toujours présents.

Sac rouleau, Armée impériale japonaise, Seoi-bukuro
Sac rouleau de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, confectionné en toile kaki et doublé de coton blanc, divisé en deux compartiments fermant par un rabat à double cordon. Havresac simplifié destiné à être porté en bandoulière ou autour de la taille, largement observé à partir de 1944. Exemplaire complet, en parfait état. Longueur totale une fois déplié : 192 cm.

Bandeau japonais, Hachimaki, "Chance"
Superbe bandeau japonais type Hachimaki , d'origine Deuxième Guerre. Probablement inspirée de la pièce de tissu portée sous leur casque par les samouraïs du Japon féodal, cette coiffe traditionnelle symbolise le courage et l'esprit de sacrifice de son porteur. Bien que souvent associé aux pilotes engagés dans les missions suicides, le Hachimaki n'est pas l'apanage des kamikazes. Le présent exemplaire arbore en son centre le Soleil levant et les idéogrammes de la chance. Excellent état général. Longueur totale : 85 cm.

Sac à objets de valeurs, japonais, imon-bukuro
Petit sac japonais de type imon-bukuro , d'origine Deuxième Guerre, destiné au transport des objets de valeurs. Confectionné en toile de coton verte, il est muni d'un cordon de serrage. Exemplaire en excellent état général. Dimensions : 14 x 9.5 cm.

Ceinturon, soldat japonais, 1944
Ceinturon en toile, d'origine Deuxième Guerre, du soldat japonais, d'une fabrication fin de guerre à partir de 1944. Boucle en laiton, d'une longueur totale de 160 cm.

Insigne de grade de sergent, patte d'épaule, Armée impériale japonaise
Insigne de grade de sergent de l'Armée impériale japonaise ( Gunsō ), d'origine Deuxième Guerre, destiné à prendre place sur la patte d'épaule de l'uniforme grâce à l'épingle prévue à cet effet. Exemplaire complet, en très bon état général.

Grenade céramique, Type 4, marron, japonaise
Grenade japonaise de type 4, d'origine Deuxième Guerre, en céramique marron. Suite à la pénurie de métaux, les grenades en céramique apparaissent fin 1944, début 1945 comme arme de "dernier recours". Elle seront massivement distribuées aux troupes japonaises lors des batailles d'Iwo Jima et Okinawa. Exemplaire en très bon état général. Le corps de la grenade est vide et ne présente aucun danger.

Drapeau japonais, manche télescopique, Hinomaru
Petit drapeau national japonais type Hinormaru en toile de coton, d'origine Deuxième Guerre, monté sur un manche métallique télescopique (fonctionnel). Modèle utilisé à l'occasion de défilés militaires et diverses manifestations patriotiques. Très bon état général. Dimensions du drapeau : 27 x 35 cm. Longueur du manche déployé : 50 cm.

Ceinture japonaise, "mille points", Senninbari haramaki
Superbe ceinture japonaise type Senninbari haramaki , d'origine Deuxième Guerre. A l'image du drapeau porte-bonheur donné par la famille et les amis ( Hinomaru yosegaki ) ou de la bannière de guerre offerte par telle ou telle organisation patriotique ( Shussei nobori ), la "ceinture à mille points" est l'un des principaux effets de protection spirituelle que le guerrier nippon emporte au combat. Son origine remonterait au conflit sino-japonais de 1894-1895. Réalisé à l'initiative de la mère, la sœur ou l'épouse du combattant, c'est un ouvrage participatif, constitué d'une simple bande de tissu destinée à être nouée autour de la taille, sur laquelle figurent différents motifs ou messages d'encouragement : selon la tradition, un total de mille points de broderie doit orner la ceinture, chaque point étant théoriquement brodé par une femme différente à la requête de l'initiatrice. Réalisé dans une toile de couleur jaune, le présent exemplaire arbore différents idéogrammes imprimés de part et d'autre des points de broderie. Une petite amulette en bois, protégée par une enveloppe, a été glissée entre les deux pans de tissu. Excellent état général. Longueur totale : environ 113 cm.

Gilet de protection japonais, plastron cuirassé
Rare gilet de protection japonais, d'origine Deuxième Guerre, constitué d'un gilet en toile et d'un plastron "cuirassé" articulé. Celui-ci est formé par l'assemblage de 72 plaques de fer rectangulaires de deux millimètres d'épaisseur, affectant une forme légèrement bombée, rivetées et cousues par bandes horizontales de manière à ce que chacune recouvre légèrement la bande inférieure. Dimensions de chaque plaque : environ 3,5 x 6 cm. Les deux bandes de tissu partant des épaules se croisent dans le dos et viennent se solidariser au bas du plastron par un cordon grâce à trois bandes de renfort en cuir présentant chacune six œillets, permettant ainsi d'ajuster la veste à la morphologie du porteur. Une courroie reliant les deux côtés permet de sécuriser l'ensemble. En excellent état, cet exemplaire complet a conservé son étiquette d'origine, sur laquelle figurent les marquages suivants : 武運長久 ( Buun Chōkyū : "bonne chance au combat"), 新案特許出願中 (brevet déposé, nouveau modèle), 木村式 (version Kimura ), 護身用鐵ジョッキー (veste cuirassée d'autodéfense). Probablement destiné aux officiers, ce type de plastron n'offrait qu'une protection toute relative en conditions réelles...

Bonnet de vol, Marine impériale japonaise
Magnifique et rarissime bonnet de vol d'été de la Marine impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre. Introduit en 1941, ce modèle en cuir restera, de concert avec la version hivernale fourrée, l'un des principaux bonnets réglementaires des pilotes et autres personnels navigants de l'aéronavale nippone jusqu'à la fin du conflit. En très bon état général, cet exemplaire complet a conservé son rabat frontal à bouton pression, sa jugulaire avec boucle à ardillon (fonctionnelle), son étiquette intérieure et le passant destiné à maintenir les lunettes (bouton d'origine), sous lequel ont été peints à la main deux idéogrammes -- probablement le nom du propriétaire. Seul le cache-oreille gauche est manquant. A ne pas manquer !

Journal, The Providence Sunday Journal, 7 décembre 1941, "Japanese Bombing Honolulu"
Très rare journal complet, The Providence Sunday Journal , daté du 7 décembre 1941, annonçant l'attaque de Pearl Harbor: " Japanese Bombing Honolulu; 35 Dead, U.S. Warship Afire" . Exemplaire complet, en bon état général.

Rare ceinture porte-bonheur japonaise, d'origine Deuxième Guerre, dite Senninbari haramaki.
À l'image du drapeau confié par la famille et les amis (Hinomaru yosegaki) ou de la bannière de guerre offerte par telle ou telle organisation patriotique (Shussei nobori), la "ceinture à mille points" est l'un des principaux effets de protection spirituelle que le guerrier nippon emporte au combat. Son origine remonterait au conflit sino-japonais de 1894-1895.
Réalisé à l'initiative de la mère, la sœur ou l'épouse du combattant, c'est un ouvrage participatif, constitué d'une simple bande de tissu destinée à être nouée autour de la taille et sur laquelle figurent différents motifs ou messages d'encouragement : selon la tradition, ces inscriptions doivent être composées d'un total de mille points de broderie, chaque point étant théoriquement brodé par une femme différente à la requête de l'initiatrice.
Cette ceinture ne présente pas de motifs brodés : en revanche, elle arbore différents idéogrammes peints ainsi qu'une pièce de monnaie cousue en guise d'amulette.
Exemplaire porté, dans son jus.
check_circle
check_circle

Les objets historiques proposés par le magasin PARATROOPER sont destinés aux collectionneurs, amateurs d’histoire, historiens ou conservateurs de musée.
Ces pièces ne font l’apologie d’aucune tendance politique, idéologique ou raciale à l’origine des deux conflits mondiaux les plus sanglants de l’histoire.
Par ailleurs, nous vous rappelons que l’article R.645-1 du Code pénal punit de l’amende prévue pour les contraventions de cinquième classe (sauf pour les besoins d'un film, d'un spectacle ou d'une exposition comportant une évocation historique) le port ou l’exhibition en public d’un uniforme, insigne ou emblème rappelant ceux portés par les membres d’une organisation déclarée criminelle en application de l'article 9 du Statut du tribunal militaire international de Nuremberg annexé à l'Accord de Londres du 8 août 1945 : SS, SD, Gestapo, corps des chefs nazis (le Führer, la Reichsleitung, les Gauleiters et leurs principaux collaborateurs, les Kreitsleiter et leurs collaborateurs, les Ortsgruppenleiter, les Zellenleiter et les Blockleiter) ou par toute personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité prévus par les articles 211-1 à 212-3 ou mentionnés par la loi n° 64-1326 du 26 décembre 1964.
Le Code prévoit des peines complémentaires, telles que la confiscation des objets ayant servi ou destinés à commettre l’infraction.