Japonais

Bandeau japonais, Hachimaki, "Chance"
Superbe bandeau japonais type Hachimaki , d'origine Deuxième Guerre. Probablement inspirée de la pièce de tissu portée sous leur casque par les samouraïs du Japon féodal, cette coiffe traditionnelle symbolise le courage et l'esprit de sacrifice de son porteur. Bien que souvent associé aux pilotes engagés dans les missions suicides, le Hachimaki n'est pas l'apanage des kamikazes. Le présent exemplaire arbore en son centre le Soleil levant et les idéogrammes de la chance. Excellent état général. Longueur totale : 85 cm.

Bandes molletières, Armée impériale japonaise, Makikyaham
Paire de bandes molletières de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, en drap de laine kaki. Ensemble homogène, en excellent état général.

Bandes molletières, Armée impériale japonaise, Makikyaham
Paire de bandes molletières de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, en drap de laine kaki. Ensemble homogène, en excellent état général.

Bonnet de vol, Marine impériale japonaise
Magnifique et rarissime bonnet de vol d'été de la Marine impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre. Introduit en 1941, ce modèle en cuir restera, de concert avec la version hivernale fourrée, l'un des principaux bonnets réglementaires des pilotes et autres personnels navigants de l'aéronavale nippone jusqu'à la fin du conflit. En très bon état général, cet exemplaire complet a conservé son rabat frontal à bouton pression, sa jugulaire avec boucle à ardillon (fonctionnelle), son étiquette intérieure et le passant destiné à maintenir les lunettes (bouton d'origine), sous lequel ont été peints à la main deux idéogrammes -- probablement le nom du propriétaire. Seul le cache-oreille gauche est manquant. A ne pas manquer !

Brodequins, M-16, Armée impériale japonaise, Henjoka
Rare paire de brodequins de combat M-16 de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, introduits en février 1941 et destinés à être portés avec les bandes molletières. Chaussure montante en cuir fauve à bout rapporté, munie de trois paires d'œillets et d'une semelle en caoutchouc naturel. Pointure 11.7 (44). Ensemble homogène, état porté ; les lacets en coton kaki clair sont toujours présents.

Casque léger, Armée impériale japonaise
Rare casque léger en fibre de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, reprenant la forme du casque lourd Modèle 32. Exemplaire porté, dans son jus, ayant conservé son insigne de coiffe en métal, ses rivets et une partie de l'intérieur en toile de jute.

Casquette de campagne, Armée impériale japonaise, Ryakubo, taille 57
Rare casquette de campagne de l'Armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, du modèle règlementaire destiné à la troupe. Coiffe en laine kaki présentant deux œillets d'aération de chaque côté, visière souple, bande de sudation en cuir fauve. Taille 7 (57). Exemplaire porté, en assez bon état général, ayant conservé son insigne de coiffe et son cordonnet de serrage ; seule la jugulaire est manquante.

Ceinture de maintien, Armée impériale japonaise, Obigawa
Ceinture de maintien japonaise, d'origine Deuxième Guerre, confectionnée en toile épaisse et munie de deux sangles en cuir avec boucles à ardillon (fonctionnelles). Exemplaire porté, en assez bon état général. Dimensions de la bande de toile : 75 x 7,5 cm.

Ceinture japonaise, "mille points", Senninbari haramaki
Superbe ceinture japonaise type Senninbari haramaki , d'origine Deuxième Guerre. A l'image du drapeau porte-bonheur donné par la famille et les amis ( Hinomaru yosegaki ) ou de la bannière de guerre offerte par telle ou telle organisation patriotique ( Shussei nobori ), la "ceinture à mille points" est l'un des principaux effets de protection spirituelle que le guerrier nippon emporte au combat. Son origine remonterait au conflit sino-japonais de 1894-1895. Réalisé à l'initiative de la mère, la sœur ou l'épouse du combattant, c'est un ouvrage participatif, constitué d'une simple bande de tissu destinée à être nouée autour de la taille, sur laquelle figurent différents motifs ou messages d'encouragement : selon la tradition, un total de mille points de broderie doit orner la ceinture, chaque point étant théoriquement brodé par une femme différente à la requête de l'initiatrice. Réalisé dans une toile de couleur jaune, le présent exemplaire arbore différents idéogrammes imprimés de part et d'autre des points de broderie. Une petite amulette en bois, protégée par une enveloppe, a été glissée entre les deux pans de tissu. Excellent état général. Longueur totale : environ 113 cm.

Ceinture porte-bonheur japonaise, Senninbari haramaki
Rare ceinture porte-bonheur japonaise, d'origine Deuxième Guerre, dite Senninbari haramaki . À l'image du drapeau confié par la famille et les amis ( Hinomaru yosegaki ) ou de la bannière de guerre offerte par telle ou telle organisation patriotique ( Shussei nobori ), la "ceinture à mille points" est l'un des principaux effets de protection spirituelle que le guerrier nippon emporte au combat. Son origine remonterait au conflit sino-japonais de 1894-1895. Réalisé à l'initiative de la mère, la sœur ou l'épouse du combattant, c'est un ouvrage participatif, constitué d'une simple bande de tissu destinée à être nouée autour de la taille et sur laquelle figurent différents motifs ou messages d'encouragement : selon la tradition, ces inscriptions doivent être composées d'un total de mille points de broderie, chaque point étant théoriquement brodé par une femme différente à la requête de l'initiatrice. Cette ceinture ne présente pas de motifs brodés : en revanche, elle arbore différents idéogrammes peints ainsi qu'une pièce de monnaie cousue en guise d'amulette. Exemplaire porté, dans son jus.

Ceinturon en cuir, officier marinier, Marine impériale japonaise
Rare ceinturon en cuir brun de la Marine impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, pourvu d'une boucle en laiton et vraisemblablement destiné aux officiers mariniers. Exemplaire porté, en assez bon état général.

Ceinturon en cuir, Officier subalterne, japonais
Rare ceinturon en cuir noir de l'armée impériale japonaise, d'origine Deuxième Guerre, pourvu d'une boucle en laiton et vraisemblablement destiné aux officiers subalternes avec la doublure en laine bleu. Exemplaire porté, en assez bon état général avec les sangles porte-sabre. Longueur de 95 cm.